Przeglądaj wg Słowo kluczowe "dyplomacja II Rzeczypospolitej"
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Pozycja Condamnées à s’allier. La Pologne et la France à la fin de la Grande Guerre et dans l’immédiat après-guerre (1917–1921)(Oficyna Wydawnicza AFM, 2022) Gmurczyk-Wrońska, MałgorzataRoman Dmowski et son camp, dont Erazm Piltz, ont utilisé l’évolution de la politique étrangère française et présence du Comité national polonais à Paris pour faire pression sur le gouvernement français afin qu’il inclue l’indépendance de la Pologne dans les objectifs de guerre des Alliés. L’intérêt accru de la France pour les affaires polonaises à la fin de 1917 résulte d’une part de la perte de son allié russe et d’autre part d’un fort désir d’affaiblir l’Allemagne autant que possible. La France s’est alors mise à modifier sa politique dans l’Est européen prévoyant dans ses plans futurs la possibilité de compter les nouveaux États d’Europe centrale dans son système d’alliance. Finalement, en 1921, la France et la Pologne conclurent une alliance en deux volets : un accord politique et une convention militaire secrète. Pour la France, la Pologne n’est dans les domaines politique et militaire qu’un «allié de revers», un allié contre l’Allemagne, mais aussi un allié qui soulève de nombreuses objections au Quai d’Orsay. Elle joue également un rôle très important pour les investisseurs français. Pour la Pologne, en revanche, l’alliance avec la France en tant que puissance victorieuse était facteur essentiel dans sa politique étrangère, le pays ayant absolument besoin d’un partenaire parmi les puissances européennes.Pozycja Krakowskie Studia Międzynarodowe 2022, nr 2 (XIX), Stosunki szczególne? Zbieżność francusko-polskich interesów od czasów Francuskiej Misji Wojskowej w Polsce do wizyty Charles’a de Gaulle’a w 1967 roku(Oficyna Wydawnicza AFM, 2022) Orłowski, Tomasz; Gmurczyk-Wrońska, Małgorzata; Schramm, Tomasz; Maliszewski, Lech; Guelton, Frédéric; Dessberg, Frédéric; Davion, Isabelle; Gaymard, Hervé; Vaïsse, Maurice; Babij, Krzysztof; Jaśkowski, RafałZ wprowadzenia: "Każda publikacja z zakresu stosunków międzynarodowych powstała w 2022 r. musiała się odnieść do najważniejszego wydarzenia, jakim była rosyjska agresja na Ukrainę. Wynik tej wojny nie jest jeszcze rozstrzygnięty, ale pozwala na jasną ocenę, jakie są prawdziwe cele polityki zagranicznej Rosji, która jest gotowa łamać prawo międzynarodowe i humanitarne, niszczyć porządek europejski, ale także własny wizerunek i zaufanie europejskich sąsiadów oraz partnerów. Przebieg działań wojennych wskazał także na dwa inne czynniki: jak ważna jest jedność narodu pod kierunkiem wiarygodnych przywódców oraz jak przesądzające jest sojusznicze wsparcie, które daje napadniętym odczuć, że nie zostali sami w obliczu agresora. Rola przyjęta przez Wołodymira Zełeńskiego czyni z niego przeciwieństwo odcinającego się od kontaktu z rzeczywistością Putina, a szerokie poparcie międzynarodowe dla Ukrainy jest dla Rosji największym zaskoczeniem."(...)Pozycja L’alliance franco-polonaise et la montée des périls dans la seconde moitié des années 1930(Oficyna Wydawnicza AFM, 2022) Davion, IsabelleLa France a considéré l’alliance franco-polonaise de 1921 comme un élément d’un système de sécurité collective prévoyant une concertation avec la Tchécoslovaquie en cas d’agression allemande. Sa position a également évolué en raison du manque de coordination entre le Quai d’Orsay et l’État-major, car il est impossible de concilier le réseau d’alliances en Europe centrale avec la préparation d’une guerre strictement défensive. Le système de sécurité collective se dégrada dans les années 1930 et se déforme de plus en plus par la suite. Le droit des peuples à l’autodétermination fut instrumentalisé dans la crise de la minorité polonaise en Tchécoslovaquie qui s’intensifia à partir de 1937. Le potentiel de coopération franco-polonaise s’est considérablement réduit lors de la crise des Sudètes. Bonnet chercha à rendre la partie polonaise responsable afin de disculper la France et de justifier sa propre attitude conciliante à l’égard de Munich. Au Quai d’Orsay, en revanche, des tendances conscientes de la dévastation de la relation franco-polonaise cherchèrent à évaluer ce qu’il est possible d’en sauver.